Le 28 avril prochain, si tout va bien (et tout va bien !) nous partons pour un grand voyage... à vélo bien entendu.
Nous avons du temps et la santé... bref tous les voyants sont au vert et c’est le moment ou jamais.
Le prétexte ? Aller jusqu’en Islande et en revenir, à la force des mollets, en partant de chez nous.
Autre prétexte : Porter des courriers « importants mais non urgents » à des gens qui vont être surpris . . .
Il ne s’agit pas d’un exploit sportif, puisque nous allons – pour la première fois – prendre vraiment notre temps : Vivre à deux une grande parenthèse égoïste, au terme d’une vie professionnelle bien remplie.
Ce voyage devrait durer environ 5 mois, pendant lesquels nous allons pédaler / marcher / manger / dormir / divaguer / rêver / regarder / peindre / photographier / flâner / visiter / bavarder / etc... et surtout nous laisser porter par les imprévus, les aléas et les rencontres.
Nous avons du temps et la santé... bref tous les voyants sont au vert et c’est le moment ou jamais.
Le prétexte ? Aller jusqu’en Islande et en revenir, à la force des mollets, en partant de chez nous.
Autre prétexte : Porter des courriers « importants mais non urgents » à des gens qui vont être surpris . . .
Il ne s’agit pas d’un exploit sportif, puisque nous allons – pour la première fois – prendre vraiment notre temps : Vivre à deux une grande parenthèse égoïste, au terme d’une vie professionnelle bien remplie.
Ce voyage devrait durer environ 5 mois, pendant lesquels nous allons pédaler / marcher / manger / dormir / divaguer / rêver / regarder / peindre / photographier / flâner / visiter / bavarder / etc... et surtout nous laisser porter par les imprévus, les aléas et les rencontres.
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